Comment rendre les derniers hommages aux morts? Comment les pleurer? Comment leur tendre la main?...
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Au coeur du Méjean
Parfois pour entendre Sa voix, Sortie des profondeurs De la Terre, Il faut aller au coeur Du désert Là où nul écho Ne lui répond.
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Parfois pour entendre Sa voix, Sortie des profondeurs De la Terre, Il faut aller au coeur Du désert Là où nul écho Ne lui répond. -
... deviendra un beau papillon elle s'envolera avec chacun de ses souvenirs imprimés sur ses ailes
OUIN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerNe pleure pas petit pokemon, ça risque de te créer des court-circuits!
RépondreSupprimerTss, sérieux encore à vous chamailler tous les deux! Mais c'est vrai qu'il est plus facile pour un pokémon de se court circuiter que pour les statues des pleureuses... pleureuses, soit dit en passons, de la concession familiale.
RépondreSupprimerOn ne se chamaille point, c'est encore lui qui a commencé. En tout cas je trouve ces pleureuses splendides soit dit en passant.
RépondreSupprimermême pas vrai! Maitre serpent c'est lui qui me martyrise! OUIIIIIIIIIIIIIIIN!
RépondreSupprimerPleureuses splendides, en effet... mais je viens de me rendre compte encore aujourd'hui que l'on ne peut accompagner les morts, on peut les rassurer avant leur départ, pour leur faciliter leur dernier voyage, on peut réduire leur douleur... puis on peut les pleurer, leur rendre hommage, mais on ne peut les accompagner. Et c'est bien cela qui nous fait mal, quand on reste... Cepandant, on ne peut vivre qu'au prix de la mort, et même si nous ne pouvons accompagner les morts, nous les rejoindrons certainement un jour, peu importe dans quel forme d'au delà...
RépondreSupprimerAccompagner quelqu'un dans sa douleur ne veut pas dire qu'on peut faire tout le chemin avec lui. Parfois il faut savoir rester au seuil de la porte. Mais cet accompagnement jusqu'à la dernière porte est en soit rassurante pour celui qui la franchit, même si on ne peut réellement l'accompagner au bout de son voyage. Et il en est de même pour les vivants, on peut rester à leurs côtés, les aider, mais se sont eux qui tracent leurs chemins. Et oui effectivement c'est parfois douloureux.
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